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"Svetlana Navassardian, qui fait admirer les diverses facettes de son talent, pourrait être le joyau de toute scène". Ces mots du célèbre Emile Guilels, prononcés au début de la carrière artistique de Svetlana Navassardian, se sont révélés prophétiques.
Lauréate de quatre concours internationaux (concours Schumann, 1966; concours Bach, 1968; concours Reine Elisabeth, 1972; concours à Sidney, 1977), "la grande pianiste arménienne" comme la qualifie la presse internationale, s'est produite dans plus d'une quarantaine de pays du monde, y compris les Etats-Unis, le Canada, la Grande-Bretagne, la France, l'Espagne, l'Italie, l'Allemagne, la Grèce, le Japon, la Chine, l'Australie, l'Egypte, le Kuweit. Elle a participé également à des festivals internationaux à Echternach (Luxembourg), à Tours, à Venise, à Paris, à Moscou, à Saint Petersbourg, à Potsdam, à Grenade et elle a été accueillie dans les meilleures salles du monde, comme la Grande Salle du Conservatoire de Moscou, "Opera-House" de Sidney, "Palais des Beaux-Arts" de Bruxelles,
Lauréate de quatre concours internationaux (concours Schumann, 1966; concours Bach, 1968; concours Reine Elisabeth, 1972; concours à Sidney, 1977), "la grande pianiste arménienne" comme la qualifie la presse internationale, s'est produite dans plus d'une quarantaine de pays du monde, y compris les Etats-Unis, le Canada, la Grande-Bretagne, la France, l'Espagne, l'Italie, l'Allemagne, la Grèce, le Japon, la Chine, l'Australie, l'Egypte, le Kuweit. Elle a participé également à des festivals internationaux à Echternach (Luxembourg), à Tours, à Venise, à Paris, à Moscou, à Saint Petersbourg, à Potsdam, à Grenade et elle a été accueillie dans les meilleures salles du monde, comme la Grande Salle du Conservatoire de Moscou, "Opera-House" de Sidney, "Palais des Beaux-Arts" de Bruxelles,
"Salle Gaveau" de Paris, "Gewandhaus" de Leipzig, "Teatro Colon" de Buenos Aires, "Asahi Hall" de Tokyo, "Phénix Hall" d'Osaka. Elle a eu par ailleurs le privilège de collaborer avec des solistes et des chefs d'orchestres de renom, tels que Evgueni Svetlanov, Valéry Guerguiev, Vassili Sinayski, Vladimir Spivakov, Youri Bachmet, René Defaussé, Siegfried Köhler, Karl Etti, Victor Tretiakov, Grigory Jislin, Rouben Aharonian et beaucoup d'autres.
L'art de Svetlana Navassardian, d'inspiration originale, conquiert toujours de nouvelles salles de concert, trouvant constamment des échos admiratifs dans les médias et la haute appréciation du public.
Cet art, d'une inspiration profonde et émouvante, cette technique parfaite, cette touche miraculeuse témoignent d'une artiste puissante et virtuose digne d'un succès éclatant et d'une reconnaissance universelle.
L'éclosion du talent précoce de Navassardian doit beaucoup à l'ambiance intellectuelle de sa famille. Son père, historien d'une érudition rare, est en même temps un organisateur de talent de l'instruction publique en Arménie. Sa mère, à la fois mathématicienne et cantatrice, possède un soprano lyrique dramatique unique en son genre. Brillante nature artistique, elle joue un rôle décisif dans le choix de la profession et le devenir artistique de sa fille.
A l'âge de cinq ans, premières leçons de piano; à neuf ans, premier récital, avec au programme "Les Trente Inventions" de Bach; à dix-neuf ans, premier concours international gagné, et depuis, une ascension constante vers la perfection artistique. En 1989, elle débute comme chef de l'Orchestre de musique de chambre d'Erevan.
La remarquable pianiste s'est vu décerner l'Ordre "Insigne d'Honneur" de l'URSS. Elle porte le titre d'Artiste du Peuple d'Arménie, elle est aussi Lauréate du Prix d'Etat d'Arménie (pour l'interprétation du cycle de tous les concertos pour piano de Bach).
Continuatrice des traditions de Henri Neuhaus, élève des illustres Yakov Zak et Vatché Oumir-Chatt, Svetlana Navassardian se consacre aussi à l'enseignement et transmet ses connaissances, les secrets et les trésors de sa musique aux jeunes musiciens des quatre coins du monde pendant des cours de maîtrise donnés au Canada, en France, en Russie, au Japon, en Espagne et dans d'autres pays.
L'art de Svetlana Navassardian, d'inspiration originale, conquiert toujours de nouvelles salles de concert, trouvant constamment des échos admiratifs dans les médias et la haute appréciation du public.
Cet art, d'une inspiration profonde et émouvante, cette technique parfaite, cette touche miraculeuse témoignent d'une artiste puissante et virtuose digne d'un succès éclatant et d'une reconnaissance universelle.
L'éclosion du talent précoce de Navassardian doit beaucoup à l'ambiance intellectuelle de sa famille. Son père, historien d'une érudition rare, est en même temps un organisateur de talent de l'instruction publique en Arménie. Sa mère, à la fois mathématicienne et cantatrice, possède un soprano lyrique dramatique unique en son genre. Brillante nature artistique, elle joue un rôle décisif dans le choix de la profession et le devenir artistique de sa fille.
A l'âge de cinq ans, premières leçons de piano; à neuf ans, premier récital, avec au programme "Les Trente Inventions" de Bach; à dix-neuf ans, premier concours international gagné, et depuis, une ascension constante vers la perfection artistique. En 1989, elle débute comme chef de l'Orchestre de musique de chambre d'Erevan.
La remarquable pianiste s'est vu décerner l'Ordre "Insigne d'Honneur" de l'URSS. Elle porte le titre d'Artiste du Peuple d'Arménie, elle est aussi Lauréate du Prix d'Etat d'Arménie (pour l'interprétation du cycle de tous les concertos pour piano de Bach).
Continuatrice des traditions de Henri Neuhaus, élève des illustres Yakov Zak et Vatché Oumir-Chatt, Svetlana Navassardian se consacre aussi à l'enseignement et transmet ses connaissances, les secrets et les trésors de sa musique aux jeunes musiciens des quatre coins du monde pendant des cours de maîtrise donnés au Canada, en France, en Russie, au Japon, en Espagne et dans d'autres pays.
