/…/Il excelle à rendre l'intimité fragile et délicate de Haydn. /…/De Chopin il révèle la force intérieure et le tragique et il souligne, par sa virtuosité, la grâce légère et pétillante du compositeur/…/Son interprétation incroyablement intense du morceau " Après une lecture de Dante " de Liszt, montre sa profonde compréhension de la Divine Comédie avec tous ses contrastes entre l'Enfer et le Paradis, ce qui pourrait même induire tous ceux qui n'aiment pas ce morceau lisztien à l'apprécier vraiment. /…/En jouant la musique " légère au cœur " de Fauré, tout était très raffiné, plein d'élégante finesse /…/Magistrale interprétation de Petrushka, avec une expressivité débordante de vitalité au millimètre carré /…/A la fin du récital nous avions totalement oublié l'absence du pianiste Igor Roma que nous avions été si surpris, au début, de voir remplacer par Jean Dubé.
Leidsch Dagblad, Nieuwkoop, Pays-Bas,
23 février 2005
Le jeune pianiste français a fait preuve d'une solide technique et d'une expressivité profondément émouvante lors de son premier récital au festival Salle Beethoven
" Qu'il revienne ! qu'il revienne ! " semblaient vouloir dire les applaudissements des spectateurs tous levés pour l'ovationner. Il est clair qu'il appartient à la classe des jeunes artistes voués à un avenir supérieur. Agé de 21 ans, il a joué comme le meilleur des artistes déjà mûrs. Faisant preuve d'une technique solide et d'un engagement total dans son art, il est capable d'émouvoir profondément le public. Un seul regret : ne pas pouvoir l'écouter encore plusieurs fois.
Alejandro Fernández, Critique musical, EL NORTE,
vendredi 10 septembre 2004
/…/Après le chœur, c'était le tour d'une étoile montante du piano qui deviendra sans aucun doute l'un des plus importants pianistes de ce nouveau millénaire, comme le laissent déjà prévoir son jeu et son succès aux concours. Plusieurs maîtres du piano ont avoué avoir aimé, dans leur jeunesse, jouer vite et fort. Le jeu de monsieur Dubé, au contraire, n'est pas forcé, en fait, son expression se révèle très lyrique, dotée des couleurs pianistiques les plus sensibles. Par contre, il montre sa grande virtuosité avec un grand enthousiasme. Cet artiste nous donna avec grand brio de telles envolées de notes que le public en eut littéralement le souffle coupé. Cependant il fit aussi ressortir le lyrisme de Debussy et Fauré de façon tout à fait remarquable./…/ Le concert se termina par le feu d'artifice de Dubé dans la Rhapsodie hongroise de Liszt. Le jeune virtuose mit dans son jeu une telle force expressive que le public fut conduit à une extase absolue.
Karjalainen, Joensuu, Finlande,
mars 2004
La Rhapsodie hongroise n°2 est l'œuvre de Liszt pratiquement la plus connue. Vers la fin du passage rapide, Liszt écrit "Cadenza ad libitum", et plusieurs pianistes ont ajouté à cet endroit leurs propres compositions improvisées, notamment Eugène d' Albert et Sergei Rakhmaninov. Jean Dubé, sans aucune crainte, comme il se devait, mais avec une bonne dose d' aplomb et d'audace, prend les devants et suit l'exemple de ses prédécesseurs en improvisant une cadence de sa composition à faire dresser les cheveux sur la tête !
Leslie Howard, Londres, 2003
A peine Jean Dubé eut-il mis ses mains sur le piano, dimanche au Westminster, que l'auditoire fut aux anges. Il venait d'aborder un Impromptu de Chopin. Seuls les magiciens ont ce pouvoir de ravir instantanément le public. Jean Dubé est, à sa façon, un magicien. Dès les premiers applaudissements, le public fut debout. Cela se voit rarement. A 21 ans, Jean Dubé est un pianiste comme il y en a peu. Sa maîtrise est parfaite, sa virtuosité stupéfiante, sa musicalité idéale, sa sonorité merveilleuse. En plus, il possède ce don d'émouvoir qui distingue les artistes d'élite des autres.
Nice Matin, 2003
" Jean Dubé incontestable vainqueur du concours Liszt ". Dubé est vraiment un grand interprète: il apporte du bonheur et même une certaine béatitude.
Algemeen Dagblad, 2002
Un virtuose ! Un phénomène ! […] le pianiste le plus impressionnant de l'année. Il a vingt ans et une maîtrise absolue de son art. Une virtuosité à toute épreuve, un vrai pouvoir d'émouvoir. Il sait donner du poids à son discours, faire sangloter une phrase, prolonger un soupir, déchaîner des orages, tenir son public en haleine. Il peut être colossal ou caressant. Il n'a pas son pareil pour faire attendre la dernière note, celle, précieuse et définitive, qui vous arrache une larme.
Nice Matin, 2001
" Le pianiste français l'emporte haut la main au 6e concours international Liszt ", "ses doigts volaient littéralement sur le clavier ", " gagnant incontesté " et " lauréat inégalé ", affichait la une des journaux après la victoire de Jean Dubé au 6e concours Liszt d'Utrecht, qui s'est déroulé du 31 mars au 13 avril 2002.Pour la première fois, le public put choisir lui aussi 'son' lauréat dans la finale. Le tonnerre d'applaudissements qui salua son interprétation de la Rhapsodie hongroise n° 2 prouva que Dubé avait conquis tous les cœurs.
Concours International Franz Liszt, Utrecht, 2002
Lorsque j'ai entendu Jean Dubé la première fois, il était âgé de douze ans.
J'ai vu pour lui un grand avenir. Son curriculum vitae prouve que je ne m'étais pas trompée. Il a déjà commencé une très grande carrière.
Jacqueline Robin, Professeur honoraire du CNSMDP